Evelyne Huytebroeck, ministre bruxelloise de l’environnement, a signé le 22 novembre 2012 le 2ème axe de l’Alliance Emploi-Environnement consacré à l’Eau. Le gouvernement bruxellois considère le Plan de Gestion de l’Eau comme une opportunité pour les entreprises à s’impliquer dans la gestion de l’eau et à générer de l’emploi. Des opportunités économiques et d’emplois résident dans la prévention contre les inondations... En savoir plus >>

C’est une première. Des parlementaires flamands, wallons et bruxellois se sont réunis au parlement flamand le jeudi 17 janvier 2013 pour une session de commission conjointe. A l’ordre du jour, un sujet dépassant le cadre des frontières régionales et linguistiques: la prévention des inondations et la gestion interrégionale des cours d’eau. En savoir plus >>

Fin 2012, l’histoire du projet transfrontalier Hedwige-Prosper a connu un tournant notable. Ce projet de zone naturelle à marées, à cheval sur la frontière entre la Flandre et les Pays-Bas, devient réalité. Le gouvernement néerlandais a même indiqué une date: les eaux de l’Escaut doivent inonder pour la première fois cette zone naturelle nouvellement créée à l’horizon 2019. La sécurité et le caractère naturel de la Flandre et des Pays-Bas s’en trouveront renforcés. Ces dernières années, les Pays-Bas ont étudié plusieurs solutions de dépoldérisation pour le polder Hedwige. Qu’en était-il avant? Quelles décisions ont été prises actuellement? Pour le savoir, cliquez ici (pp. 2-3, en néerlandais).

En décembre 2012, Waterwegen en Zeekanaal NV (W&Z) a bouclé le projet Sigma dans le polder inondable de Lillo. Ce projet constitue une première étape dans la protection de Lillo et de ses environs contre les inondations de l’Escaut. Il dote en outre le port d’Anvers d’une belle zone de nature estuarienne, très précieuse, dont profiteront également les riverains et les visiteurs. En savoir plus >>

Fermé depuis vingt ans suite à un envasement important, le canal Pommeroeul-Condé pourrait ëtre rouvert à la circulation fluviale en 2016. Dans le réseau fluvial européen, il s'agit du chaînon manquant entre la Seine et la Meuse qui permettrait de faire gagner plus d'une demi-journée de navigation. Le hic, c'est la destination des 1,3 million de m³ de boues polluées qui seront extraites.
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Les autorités belges et françaises ont une volonté commune: lutter contre les inondations dans le bassin de la Houille. En raison de réglementations nationales différentes, la lutte contre les inondations de la Houille n’est pas gérée à l’échelle du bassin versant. Le projet INTERREG ‘Inondations Houille’ a comme objectif final : la réalisation d’aménagements concrets et cohérents pour lutter contre les inondations. En savoir plus >>

Le constat est préoccupant. En Wallonie, le niveau de pollution des masses d’eau et particulièrement des eaux de surfaces est élevé. Outre les polluants ‘classiques’ (phosphore, azote, bactéries), d’autres substances non réglementées et à la toxicité peu documentée forment un inquiétant cocktail chimique.
En effet, comme l’atteste le rapport 2011 sur la qualité des eaux de la Meuse rédigé par RIWA (l’association des producteurs d’eau potable de la Meuse), les eaux wallonnes contiennent des résidus médicamenteux (œstrogènes, anti-inflammatoires, produits de contraste radiographiques,…) menaçant la reproduction des populations de poissons et gênant les procédés techniques de potabilisation de l’eau. En savoir plus >>